Baleine sous Caillou aux Journées du Matrimoine 2021.

10 décembre 2021

En septembre 2020 on avait invité Apolline à venir parler autour du micro, d’architecture, de féminisme et de son fameux projet des journées du matrimoine. Début 2021, la situation s’inverse: est-ce que ça nous dirait d’imaginer une séance d’écoute pour les journées du matrimoine?

On accepte le challenge, on garde à l’oeil un calendrier précis: choisir un thème, trouver des podcasts, les écouter en notant les passages qui font le plus de sens selon le thème, établir un fil rouge, contacter les créateurices, monter les podcasts, changer l’ordre, couper, recouper, re mélanger, faire la comm’,… Jusqu’au jour J, où on a passé la journée à se traîner du salon à la chambre de chez Meredith, avec Anouk et Aline, à pousser des cris et chanter sous le stress.

Sur le chemin vers la tour à plomb, on fait un saut au magasin pour prendre une bouteille de Jaggermeister. On a décidé d’en faire une tradition depuis notre passage en live avec un peu gênantes au Brussels Podcast Festival. Asma pose avec la bouteille, Meredith prend une photo, et c’est parti pour un trajet en bus an portant des caisses avec les quelques dernières affaires. Arrivées à la tour à plomb, on retrouve l’équipe des Journées du Matrimoine qui nous font un dernier petit check up avec nous, avant de nous indiquer dans la direction de la nourriture.

On papote, on boit une bière, on se détent (non), on retourne dans la salle ajuster les dernières touches: les fauteuils, où est ce qu’on met la plante? Parle un peu dans le micro, ok maintenant l’autre. “Quelle vie cacti”, cette phrase qu’on dit énormément depuis deux ans. Les spectacteurices commencent à arriver, des visages familiers, d’autres non. On se glisse derrière le rideau.

Shot de Jagger qu’on avouera avoir bu dès l’introduction du sujet. On fait le fameux jeu des statistiques, mais avec un public cette fois. Evidemment, petit couac technique, il y a très peu de réseau. On plonge le public dans le noir. On en voit des qui font une sieste. L’heure d’écoute passe. Les lumières se rallument. On discute un peu, on attend, pas assez longtemps, la nervosité a un peu pris le dessus. Gros câlin. Le public se disperse.

“Quelle vie cacti.”

Le live complet est à écouter ici !

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